Voilà une actualité qui me plait doublement. Quand deux entreprises que j’apprécie, et plus particulièrement les hommes qui les dirigent, travaillent ensemble, forcément on a envie de les voir réussir. Aujourd’hui plein phare sur l’opération de la Distillerie de Bercloux sur la plateforme Les Entreprêteurs.
La Distillerie de Bercloux, on en a déjà parlé. Pour le lancement de son gin et son opération sur le site Miimosa mais également avec le cocktail Grasshopper qui ne sera plus jamais le même à mes yeux depuis que je l’ai réalisé avec la liqueur de menthe poivrée de cette jeune distillerie.
Petite aparté pour vous dire que l’on reparle de Miimosa très prochainement sur extraterrien car il va se passer quelque chose de super à la rentrée.
Revenons à nos moutons. Jamais à court d’idées, Philippe Laclie, le fondateur de la distillerie charentaise explore les capacités de son alambic Stupfler avec cette fois du malt. Son premier essai sobrement intitulé ‘Single Malt’, n’avait pas un an de barrique et déjà une texture en bouche incroyable.
Mais pour pouvoir mettre le divin mot sur l’étiquette, vous aurez le temps d’attraper tous les Pokemon avant ; 3 ans minimum sont requis.
Et c’est beau des alcools qui vieillissent. Ca fait de belles rangées de barriques et ça sent bon. Mais c’est aussi des sommes considérables qui sont immobilisées.
Pour arriver à sortir son whisky premium et Made in France, la Distillerie de Bercloux passe donc par le crowdlending des Entreprêteurs.
Crowdlending ? C’est tout simplement le mécanisme qui consiste à se substituer à une banque. On prête de l’argent à une entreprise avec un taux d’intérêt et une durée connus. Dans notre cas, c’est du 7,5% sur 48 mois. Tous les mois, vous percevrez le remboursement de votre prêt avec les intérêts.
Derrière Les Entreprêteurs, il y a un ami, Jean-Philippe Gontier. La philosophie qui l’anime depuis toujours est de participer et de faire fructifier des entreprises du paysage français. Ca fait plus de 15 ans qu’il s’y emploie. Ce qu’il aime, c’est être un acteur de l’économie réelle. C’est d’ailleurs devenue la signature des Entreprêteurs.
Une expression africaine dit « associées en fagot, même les brindilles sont incassables ». Les 80 000 € que Philippe recherche pour mener à bien son projet se feront donc ensemble, par la force du collectif. Car bon les banques, vous l’aurez compris, elles ne doivent pas aimer les whiskies… et les projets ambitieux.
Et j’espère vraiment que les 50 tonnes de malt d’orge et les 100 fûts neufs de 225 litres seront très prochainement en Charente-Martime à vieillir patiemment.
Le whisky français est en train d’exploser. N’hésitez pas à faire parti de cette belle aventure qui dans quelques années ravira vos papilles !
Cerise sur le whisky, vous pourrez bénéficier en plus d’une remise de 20% sur le whisky dès sa mise en vente en 2018 pour tout prêt d’un montant minimum de 750€.
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=> C’est par ici que cela se passe : Distillerie de Bercloux x Les Entreprêteurs.
Ou cliquez sur l’image dessous.
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Action !
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